Breathplay (4): Expériences et Informations

Après les Jeux Olympiques de 1984, Dan Wotja et Xavier Florès, deux étudiants diplômés en Physiologie de l’effort à l’Université de Toledo, lurent les éloges de BreathPlay dans les médias. Ce qui les intéressa fut de découvrir si le succés des cyclistes que j’avais entraîné avec ma méthode BreathPlay était dû à une amélioration quantifiable de leur efficacité respiratoire.
Ian Jackson.

Université de Toledo
31 Mars 1987

La première preuve scientifique qu’une technique de respiration hors du commun appelée BreathPlay est capable de donner à des athlètes un avantage en compétition et qu’elle pourrait avoir des applications dans le domaine de certaines maladies pulmonaires, sera présentée lors de la rencontre annuelle
du Collège Américain de Médecine du Sport. (26-30 Mai) à La Végas, Névada., par deux chercheurs en phisiologie de l’effort de l’Université de Toledo.

“ BreathPlay ” met l’accent sur l’expiration contrôlée plutôt que sur l’inspiration durant une activité physique intense, et de ce fait altère complètement les modèles de respiration traditionnels. »

Daniel M. Woyta, qui doit recevoir son diplôme de Docteur en Phisiologie de l’Effort de l’U.T en Août, et Xavier F. Florés, qui doit passer sa maîtrise dans le même domaine en Juin, feront un rapport de leurs études sur “ BreathPlay ”, études pendant lesquelles ils ont soumis un groupe de cyclistes du club cycliste des Maumee Valley Wheelmen, club affilié à l’USCF
(United States Cycling Federation) ainsi qu’un autre groupe d’athlètes à un entraînement à la méthode “ BreathPlay ” en Avril. Ils firent leurs tests avec l’aide de Ian Jackson, Californien , né en Angleterre, de 43 ans, coureur de longue distance et précepteur de la technique de respiration qu’il a mis au point et qu’il a appelé “ BreathPlay.

”. Mr Jackson est venu à Toledo au printemps dernier pour entraîner 15 des coureurs du club à sa technique. Un groupe de contrôle composé de 10 triathlètes et de coureurs cyclistes de haut niveau, prirent part aux tests mais ne furent pas entraînés à la technique de respiration de Ian Jackson.
Il y avait déjà quelques preuves apparentes que la technique fonctionnait. Jackson avait utilisé sa technique pour aider Alexi Grewal dans sa quête pour l’or Olympique en 1984. Grewal est cité dans le livre de Ian Jackson “ Etre en Forme avec BreathPlay ”(DoubleDay,1986)
Grewal : “ BreathPlay est l’outil le plus puissant que l’on puisse imaginer…quand çà va sortir, çà va révolutionner le monde du sport dans son ensemble. ” Mr Jackson a aussi
utilisé cette technique pour entraîner en 1981 John Howard , vainqueur du Triathlon d’Hawaï, détenteur du record du monde de vitesse à bicyclette avec 152 mph (243 kmh), il a aussi entraîné l’équipe cycliste professionnelle Seven Eleven, la première équipe US a participé au Tour de France en Août dernier.
Ce sont ces résultats qui ont intéressé les deux chercheurs de l’ Université Toledo, cependant ils voulaient une preuve
scientifique de son efficacité à obtenir de si brillants résultats.

Les premiers résultats de leur étude furent rapportés lors de la réunion régionale du Midwest du Collège de Médecine du Sport qui s’est tenue à Boyne Mountain, Mich. les 5 et 6 Février. Quelques résultats de leurs travaux furent également rapportés dans Ultrasports magazine d’Août 1986 et le numéro de mars d’American health magazine. Les deux chercheurs espèrent faire paraître leur étude dans une publication scientifique.

D’après Mr Wojta :“ L’étude des résultats de notre test semble indiquer que pour des coureurs cyclistes BreathPlay améliore l’endurance et fait reculer le seuil anaérobie. ”
Aérobie/anaérobie:
Il explique que le seuil anaérobie est le moment où durant un exercice d’endurance l’organisme passe de l’utilisation des graisses brûlées en présence d’oxygène comme source d’énergie à celle des carbohydrates brûlés sans oxygène. D’où découle une production d’acide lactique qui tend à limiter les capacités d’endurance.

“ Le mécanisme n’est pas encore totalement démontré, mais nous avons la preuve d’une respiration plus efficace parmi les sujets ayant suivi le programme BreathPlay que parmi ceux du groupe de contrôle, les premiers ayant des fréquences cardiaques abaissées, une fatigue moindre, et une plus
grande endurance. “ Les rythmes respiratoires BreathPlay sont caractérisés par une diminution de la fréquence de respiration et une augmentation du volume d’air utilisé de ce fait améliorant l’efficacité respiratoire.

“ Malgré des résultats indiquant un intérêt certain pour le coureur cycliste, ” dit-il, “ et bien que la technique puisse être expliquée assez simplement, elle demande une très grande discipline pour arriver à la maîtriser. Je dirais que six semaines après la visite de Ian, seulement un tiers à la moitié des sujets du groupe entraînés en BreathPlay pratiquaient toujours avec application.
L’athlète de haut niveau qui a le temps et la volonté nécessaire pour apprendre cette nouvelle technique, en tirera le plus de bénéfice. C’est indéniablement une différenciation flagrante de la respiration classique pendant l’entraînement. ”

Ian Jackson:
La difficulté pour arriver à maîtriser la technique BreathPlay, qui est basé sur le l’expiration forcée plutôt que l’inspiration forcée, reflète la puissance des habitudes respiratoires. Elles semblent universelles. Elles sont constamment persistantes et il faut faire des efforts considérables pour les surmonter. Quand la demande de notre organisme pour plus d’air augmente l’effort respiratoire, cet effort va automatiquement tendre a inspirer plus d’air. Il suffit d’observer des sportifs en train de respirer dans l’effort pour en avoir la confirmation.
On peut entendre l’inspiration on peut la voir aussi.En fait notre manière de parler de la respiration confirme l’observation
directe. On dirait que que pour tout le monde, respirer c’est remplir d’air ses poumons. En anglais une expression comme : “ Aspirer un grand coup et souffler ” est tout à fait famillière et naturelle, tandis que lorsque l’on dit “ Souffle un grand coup et aspire ”, celà surprend beaucoup. J’ai cherché et il semble que partout dans le monde c’est “ Aspirer un grand coup et souffler ” qui soit la norme. Nulle part on ne trouve “ Souffler un
grand coup et aspirer. ”
Enseigner la méthode BreathPlay au Centre d’Entraînement Olympique était extrêmement prenant au niveau du temps. J’ai réalisé qu’il me fallait passer beaucoup de temps avec les athlètes pour qu’ils arrivent à utiliser les rythmes BreathPlay suffisamment longtemps pour percevoir la différence.

BreathPlay est une réponse à cette difficulté. En fournissant des modèles parfaits d’expiration en poussant l’air, ils permettent une compréhension rapide et profonde de ces nouveaux schémas respiratoires.
Une fois que la technique de base a été acquise, la perception de la différence vient très vite. Dés qu’un schéma de respiration basé sur l’expiration active et l’inspiration passive est suffisamment bien acquis, le niveau de fatigue perçu diminue remarquablement. Au Centre Olympique, dés qu’un athlète a eu le plaisir d’expérimenter ce “ Aha ! ”, je lui conseillais une période avec maintien d’un travail à niveau constant, tout en
changeant de système respiratoire en passant d’une respiration “ classique ” à la respiration BreathPlay et inversement. Cette expérience était toujours très concluante. La méthode “ classique ” entraînant une intensification de la perception de l’effort, BreathPlay entraînant une diminution sensible de
cette perception.

J’ai reçu des emails d’utilisateurs de BreathPlay confirmant ces
modifications, traduites par leur cardiofréquencemètres. Si en pédalant à un rythme régulier en Breathplay, ils passent à une respiration “ classique ”, ils constatent une augmentation de leur rythme cardiaque quasi immédiate.

Chercheurs U.Toledo:
“La base de BreathPlay est d’inverser les phases de respiration actives et passives. ” selon Mr Jackson. Au lieu d’aspirer l’air et de laisser l’expiration se faire d’elle-même, l’athlète volontairement crée un schéma de rythme respiratoire basé sur l’expiration contrôlée et forcée de l’air et un remplissage passif des poumons, l’utilisateur de BreathPlay chasse l’air de ses poumons avec force et laisse la pression athmosphérique faire une partie du travail de remplissage des poumons, de ce fait atteignant une meilleure efficacité respiratoire.
Lors de leur expérimentation Wojta et Flores ont fait passé des tests de base aux 25 participants, des tests sur home trainer Winload, fourni par le fabricant. Le Winload a été réglé de telle manière que tous les participants pédalent avec la même résistance et à 90 tpm. Pour tous il fut relevé : la consommation d’oxygène, la fréquence cardiaque, la pression artérielle, la
puissance développée, le rapport fréquence cardiaque/volume d’air, et d’aures mesures annexes.
Après ce test initial, les sujets participants à l’expérimentation
travaillèrent avec Ian Jackson pendant trois jours à apprendre la technique BreathPlay. Les sujets de contrôle ne suivirent pas la formation à BreathPlay. Les deux groupes de sujets furent retestés de deux à trois semaines plus tard, chaque groupe utilisant sa technique respiratoire.

Ian Jackson:
La brièveté de la formation à BreathPlay fut un point faible indéniable de ce projet d’expérimentation. Malheureusement il était difficile de faire autrement, en effet je ne pouvais pas rester à Toledo plus longtemps.
Idéalement, j’aurais dû entrainer quotidiennement les sujets de
l’expérimentation jusqu’à ce qu’ils soient testés à nouveau, afin de développer leur technique tout au long de cette période.
Les résultats obtenus par le groupe BreathPlay ont été le reflet exact du niveau qu’ils avaient atteint dans cette technique. Si j’avais pu continuer à les entraîner à BreathPlay, ils auraient indéniablement atteint un niveau supérieur, et les informations récoltées auraient reflété cette amélioration.

Chercheurs U.Toledo:
Dans le groupe expérimental, l’endurance a été améliorée de 7,2%, le temps nécessaire à atteindre la production maximale de dioxide de carbone dans l’air expiré a augmenté de 25%, les fréquences cardiaques de 162 à 163 bpm ont été retardées d’environ deux minutes, ce qui représente une amélioration
de 4,6%. Tandis que dans le groupe de contrôle, le temps d’atteinte du seuil anaérobie a été amélioré de 7,9%, le groupe expérimental a amélioré ce temps de 17,5%, environ deux minutes de plus. Toutes ces modifications ont été
statistiquement significatives d’après Wojta. L’anatomie humaine est peut-être une partie du secret de BreathPlay. Pendant une inspiration et une expiration normale, le diaphragme, le muscle principal de la respiration qui se situe sous les poumons, ressemble un peu à un dôme.
Avec BreathPlay, son élévation est augmentée par la contraction abdominale durant l’expiration forcée, et aplati ensuite par la relaxation exagérée de ces muscles pendant l’inspiration. Ceci ajouté à la posture spécifique du cycliste augmente le volume respiratoire.
“ Nous nous sommes rendus compte que les expirations forcées produisent un effet de rebond, ” explique Flores , “ ce qui peut expliquer une inspiration plus facile. ”
Tout en reconnaissant l’apport de BreathPlay pour des athlètes, il fait remarquer que “ les résultats positifs obtenus par des personnes souffrant de problèmes respiratoires et utilisant BreathPlay et d’autres schémas de respiration contrôlée, semble indiquer une possibilité d’utilisation de cette technique dans la réadaptation pulmonaire.

Résumé:
Cette étude a testé l’efficacité de la méthode de respiration BreathPlay de Ian Jackson. BreathPlay utilise schéma de respiration basé sur des expirations forcées et des inspirations libres sur des rythmes variables. Le groupe expérimental (E) et celui de contrôle ( C) , ( N= 15 et 10) étaient des coureurs cyclistes volontaires. Tous les sujets ont participé à un
exercice d’effort maximal (I) sur leurs propres bicyclettes montées sur un home trainer. Après le test I , le groupe E a travaillé douze heures avec Jackson pendant trois jours pour apprendre la technique BreathPlay. Les deux groupes ont ensuite été re testés au bout de 10 jours (II). Les variations
furent évaluées entre I et II . Des améliorations significatives de I à II du groupe E par rapport au groupe C ont été notamment relevées pour ce qui concerne :
l’endurance 7,2% contre 0% , (p<.05) ; Diminution en effort
submaximal, 4,7% contre 2,8% et 9,6% contre 4,6% (p<.01, p<.02) ; Apparition point max CO2 26,8% plus tard contre 14,8% plus tôt pour C (p<.001.) Time of RQ = 1.0 was extended 2.0 minutes for E vs .85 minutes for C (p<.20). Le seuil anaérobie a été reculé de 2 minutes pour E en II. Submaximal VCO2 and
%CO2 was decreased for E vs C, 9.8 vs 0.8% (p<.05). BreathPlay augmente l’endurance des coureurs cyclistes et donc retarde l’atteinte du seuil anaérobie.

Discussion:
Il est généralement admis que chez des sujets en bonne santé, il y a peu ou même pas d’amélioration des performances athlétiques à travers un contrôle des rythmes respiratoires, excepté pour la natation. Le propos de cette étude était de déterminer si une base scientifique existe pour corroborer les
informations sur l’efficacité de BreathPlay relevées auprés de certains coureurs.
Les résultats de cette étude semblent indiquer que les cyclistes améliorent leur performance en endurance par le contrôle du rythme respiratoire, qui leur permet d’ exagérer volontairement en durée et en force la phase d’expiration. Les cyclistes qui utilisent cette technique ont apporté la preuve d’une amélioration significative du recul de la fatigue.
L’amélioration de l’endurance, s’accompagne d’une baisse substantielle de la FC VO2 submaximale et de la RPE . La baisse de FC VO2 peut être le résultat de l’amélioration de l’efficacité ventilatoire. Si l’efficacité ventilatoire augmente avec le contrôle volontaire de la respiration, on peut s’attendre à une baisse de la dépense energétique respiratoire (DER). Puisque
la DER peut coûter 10% de la VO2 pendant l’effort, une réduction de la DER peut de ce fait abaisser la consommation totale du corps en oxygène.
On a aussi émis l’hypothèse que la distraction de la sensation d’effort peut être à l’origine d’une baisse de la FC et de RPE réponse à l’effort. La concentration nécessaire à une respiration volontairement contrôlée peut donc être en partie responsable des valeurs plus basses relevées chez les sujets de l’expérimentation.
Une deuxième explication des FC plus basses peut se trouver dans la diminution de la pression intrathoracique qui peut se produire durant une expiration prolongée. Une diminution de la pression intrathoracique, soulagerait le travail du retour veineux et de ce fait faciliterait le travail de pompage du cœur en augmentant le volume sanguin pulsé tout en ralentissant la FC .
Il est intéressant de noter que l’amélioration des temps d’endurance observée chez les sujets du groupe expérimental n’a pas été liée à une augmentation du pic de VO2 . L’amélioration de la performance en endurance
devrait donc être liée à la VO2 submaximal plus basse et au recul du seuil anaérobie.
Il reste beaucoup de travail de recherche à faire sur le potentiel de la respiration volontairement contrôlée avant qu’elle puisse être conseillée en tant que soutien ergogène..
Aujourd’hui les résultats obtenus semblent porteurs d’espoirs pour les cyclistes désireux d’améliorer leur performance en endurance.

– A puissance égale (ex 300watt) FC avant la méthode et après la méthode.

John Howard rend compte de ses propres experiences avec le CD Zooming sur un home trainer dans un article, “ UltraZoom ”, qui a été publié dans UltraCycling magazine. Cet article est en ligne dans notre rubrique.

John Howard:
Le programme Zooming me plonge d’habitude dans un état de relaxation si profond que mon rythme cardiaque ne dépasse jamais 145 bpm même lorsque je monte à 400 watts et une vitesse de 45/48 kmh. A chaque fois que le CD se termine, je me surprends à être tellement plongé dans le courant énergétique que je continue bien au-delà des 75 minutes. Comme je l’ai dit en préambule nous ne sommes plus dans une pratique de cyclisme à l’intérieur mais plutôt dans une pratique “ intérieure ” du cyclisme.
J’espère vous avoir donné l’envie de découvrir par vous-même ce processus intuitif et créatif. Découvrez les expérimentations de Jackson avec le futur. Laissez votre esprit libre de s’échapper et de s’étonner. Au lieu d’additionner bêtement les kilomètres, pourquoi ne pas essayer de développer une véritable passion pour votre entraînement ? Au lieu de vous laisser emprisonner dans des schémas d’entraînement conventionnels, pourquoi ne pas essayer d’être à l’avant-garde avec les idées iconoclastes de Jackson ?
Pourquoi ne pas choisir l’entraînement sur home-trainer pour découvrir les chemins qui mènent à une efficacité cycliste phénoménale?

– Ecart de FC entre Le 3/6 et 2/5 à puissance égale -ex 300 watt

Je suis d’accord avec Jon Billheimer là-dessus. La “ boite à vitesse respiratoire ” de BreathPlay contient un grand nombre de rythmes respiratoires expiration/inspiration, dont le 5/2 du CD Serendipity et le 6/3 de Zooming sont justes deux exemples. Par exemple, une “ boite à vitesse BreathPlay ” devrait inclure la maîtrise des rythmes respiratoires suivants :

– Inspiration sur trois temps : 4/3, 6/3, 8/3, 10/3 (expir./inspir.)
– Inspiration sur deux temps : 3/2, 5/2, 7/2, 9/2
– Inspiration sur un temps : 2/1, 4/1, 6/1, 8/1

Chaque rythme a son propre profil d’effort, et le BreathPlayer expérimenté saura utiliser avec finesse le rythme adapté à l’effort fourni sur sa bicyclette. Par exemple un certain niveau d’effort peut exiger un rythme à 7 temps, que l’on peut trouver dans un 4/3, un 5/2, ou un 6/1, en fonction de celui dont le profil donne la meilleure combinaison puissance/ économie.
En plus des différents profils d’effort des rythmes respiratoires de BreathPlay , le pratiquant expérimenté pourra travailler à l’intérieur des rythmes. Par exemple, on peut utiliser une expiration du type avalanche durant laquelle à chaque coup de pédale le volume d’air expulsé augmente, ou bien une expiration du type retrécie pendant laquelle l’air expulsé diminue à
chaque coup de pédale. En explorant d’une manière systématique les différents profils d’effort l’athlète saura utiliser celui adapté au mieux à ses besoins.

– Evolution du mental
Les athlètes de haut niveau developpent une capacité d’adaptation au stress de la compétition. Ceux qui ont développé cette capacité savent être à l’écoute des sensations de leur corps pendant l’effort. Ils savent faire les ajustements subtils qui leur permettent d’avoir plus d’efficacité en
puissance et efficacité .
Le CD BreathPlay permet un entraînement spécifique de cette capacité d’adaptation corporelle. Un athlète qui s’investit complètement dans le Cd Zooming, par exemple, restera profondement concentré sur les rythmes
BreathPlay pendant 1500 cycles respiratoires.

– Forme de dépendance.

Une fois maîtrisée et développée, il y a peu de chance qu’un athlète abandonne la méthode BreathPlay et retourne à la respiration “ classique ”.

– Entraînement

– la méthode peut-elle s’adapter à tous les sports, endurance, endurance- résistance, résistance?

La méthode BreathPlay est universelle. Peu importe le sport, la respiration fournit l’oxygène nécessaire à la production d’énergie. BreathPlay élève la respiration au-delà d’un simple approvisionnement en oxygène en plus du processus d’organisation du mouvement.

Le JDC 11/2003. Droits exclusifs réservés.

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